dimanche 6 janvier 2013

Marc Levy: Si c'était à refaire

Andrew Stilman, grand reporter au New York Times, vient de se marier. 

Le 9 juillet 2012 au matin, il court le long de l’Hudson River quand il est soudainement agressé. Une douleur fulgurante lui transperce le dos, il s’effondre dans une mare de sang. 

Andrew reprend connaissance le 9 mai 2012… Deux mois plus tôt, deux mois avant son mariage. 

À compter de cette minute, il a soixante jours pour découvrir son assassin, soixante jours pour déjouer le destin. 

De New York à Buenos Aires, il est précipité dans un engrenage vertigineux. Une course contre la montre, entre suspense et passion, jusqu’au dénouement… à couper le souffle.

Je cite:    Marc Levy est l’auteur que personne n’aime, mais qui a vendu dans les 20 millions (ou plus) de bouquins, ce qui n’est pas négligeable.

On est d’accord, il a eu beaucoup de chance, un petit coup pouce du destin : il existe certainement des millions d’auteurs plus talentueux qui mériteraient leur place au sein de l’élite littéraire de notre pays … moi j’estime qu’un auteur qui arrive à vendre autant de bouquins est aussi légitime que n’importe qui d’autre… que l’on n’aime pas, je peux comprendre, par contre je ne comprendrais jamais l’acharnement snobinard dont il est victime continuellement, il y a aussi des millions de daubes reconnues dans le milieu qui resteront des daubes aux yeux des autres…
J’ai connu Marx Levy par hasard à la recherche d’un roman pour mes vacances dans un aéroport.  Depuis ce temps, j’emprunte  ses livres à la bibliothèque de mon cartier et cette année je me suis payé ce cadeau de Noël.
Personnellement, moi j’aime bien ses romans, ce sont des petits desserts du dimanche.
‘’Si c’était à refaire’’ ne m’a pas déçu, je l’ai dévoré en une soirée.

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