jeudi 27 mars 2014

Louise Tremblay-D'Essiambre: Mémoires d'un quartier




Je pensais ne plus avoir le temps de lire avec mon nouveau blog de bricolage, mais  non, je prends le temps de lire Louise Tremblay D’Essiambre avec sa série de livres «Mémoire d’un quartier». 
Je ne pensais jamais m’aventurer aussi loin dans la série de ses romans.  Grâce à mon cadeau de Noël, ma liseuse électronique ne chôme pas.   
Si je fais quelques fois de l’insomnie, je peux facilement lire la nuit dans le noir avec sa petite lumière intégrée.    
Au début de la lecture de cette série, je ne savais pas qu’il existait 12 tomes. Je viens de finir le huitième et je suis bien contente qu’il m’en reste encore quatre à lire.  Je salive à lire la suite de la vie de toutes ses familles. 
Les personnages sont attachants et d’une page à l’autre on veut connaître la suite. Cette collection me plonge dans un monde très proche de moi, les histoires se déroulent à Montréal au début de 1953 jusqu’à …….1967 et plus.

Lolo

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Mémoires d'un quartier

Tome 1
Laura

Montréal, 1954. Les rues fourmillent d'enfants qui sautent à la corde, de garçons qui se bousculent, jouant au hockey en se prenant pour Maurice Richard. Sous un arbre du quartier, qui a fait son chemin entre les dalles de béton, Laura Lacaille et son amie Francine Gariépy discutent vivement. Les deux jeunes filles de onze ans ont déjà des idées bien arrêtées sur la vie. Mais aujourd'hui, le sujet de leur conversation animée est cet oncle que Laura n'a jamais connu et qui a débarqué à l'improviste dans la maison de la famille Lacaille.
Adrien Lacaille, le frère de Marcel et l'enfant chéri d'Évangéline, est revenu à la maison familiale après plusieurs années d'absence. Mais cette demeure est maintenant aussi celle de la femme de Marcel, Bernadette, et de leurs deux enfants. La vie de la maisonnée et de ses habitants, menée par la poigne d'acier d'Évangéline, sera complètement bouleversée par l'homme arrivé du bout du monde dans sa décapotable bleu pâle. . .
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Pour le plaisir de son fidèle lectorat, Louise Tremblay-D'Essiambre reprend la plume et se lance dans une nouvelle série, Mémoires d'un quartier. Cette saga sur la famille de Laura et les quartiers ouvriers de Montréal s'échelonnera sur plusieurs tomes. Elle fera également revivre plusieurs personnages des autres séries de l'auteure, comme Les soeurs Deblois, de même que Cécile et Rolande de la série Les Années du silence. Bienvenue dans le monde de Laura.

Son site: http://www.louisetremblaydessiambre.com/livres/Memoires_du_quartier_tome1.html


jeudi 30 janvier 2014

Jocelyne Saucier: Il pleuvait des oiseaux



Jocelyne Saucier













Le roman Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne
Saucier, publié chez XYZ en 2010, continue son formidable parcours avec une surprenante nomination au Prix des libraires français.





Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne Saucier (XYZ).... - image 1.0

Ce prix, beaucoup moins connu que le Goncourt ou le Médicis, est décerné par l'ensemble des libraires français. Il existe depuis 1955 et vise à faire découvrir des auteurs «qui n'ont pas encore gagné de prix littéraires majeurs». Anne Hébert est la seule québécoise à l'avoir remporté, pour Kamouraska, en 1971.
Les deux autres romans en lice cette année sont Kinderzimmer de Valentine Goby et L'invention de nos vies de Karine Tuil. Les trois livres ont été sélectionnés par un jury de libraires, qui ont souligné que Il pleuvait des oiseaux est une «aventure superbe, éloignée de tout discours sentencieux» et qu'il «communique au lecteur sérénité et poésie».
Les 2000 libraires francophones membres de l'association seront appelés à voter pour le gagnant, qui sera connu le 18 mars. Il pleuvait des oiseaux est publié en France chez Denoël, et après le Canada anglais, l'Allemagne et le Suède, le roman de Jocelyne Saucier sera aussi bientôt disponible en Ukraine et en Italie.

Source: La Presse

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Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne Saucier (XYZ). Une des grandes réussites de l’année récompensée par le prix des Cinq continents de la francophonie au mois d’octobre, ce roman touchant sans être pathos parle d’amour, de vieillesse et d’amitié sur fond de grands espaces abitibiens. Parce que tout le monde a droit à une deuxième chance. (J.L.)


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Je n'ai pas particulièrement le goût de lire de romans par les temps qui courent, mais le titre évocateur de poésie de ce roman, Il pleuvait des oiseaux, a soudainement retenu mon attention.  À suivre
L'Oiseau frileux 
May