Voici la plume jetée dans un splendide flou artistique,
le 8 octobre dernier, par un arroseur de
«chemtrails»
qui volait dans le ciel tôt ce matin là,
non loin devant chez moi.
Cette nuit, à mon insu, il m'est
poussé une bête dans le dos. Eh bien, oui, l'Arthrite, n'est pas tout à
fait comme d'avoir un dos d'âne plus large que d'habitude, mais c'est tout
comme.
Serait-ce à cause du petit soleil
frisquet d'automne que nous avons eu dernièrement? Ou bien de
ce beau festival de chemtrails, qu'on vaporise abondamment,
de l'ouest de l'île de Montréal jusqu'au nord de l'île de
Laval, et au delà même de la rivière des
Mille-Îles? Livrant au
passage alors de magnifiques spectacles qui quadrillent et
voilent le ciel dans tous les sens des quatre points cardinaux, et cela
avant même que ne se lèvent les aubes.
Entre-temps, désolée de te décevoir, mais
ce n'est pas une seule journée de douceur,
comme celle d'aujourd'hui qui fera un été des Indiens.
Aujourd'hui, je viens de tourner la
dernière page (1368) du magistral dithyrambe beublique, « 666 - Friedrich
Nietzsche » écrit par Victor Lévy-Beaulieu.
Chapeau, monsieur VLB!
Dans l'espoir que l'humanité
d'aujourd'hui saura s'en servir, un
jour, pour réécrire ce terrorisme à
inventer ou pas, mais appelé de toutes ses forces par le grand philosophe
visionnaire, c'est pour y mettre cette plume à votre chapeau que je vous
l'offre avec toute la symbolique occulte qui se cache derrière.
Ne fait-il pas partie des plans
diaboliques de ce gouvernement mondial, prévu depuis plus d'un siècle par Nietszsche, avec son ordre nouveau de contrôler nos
vies de A à Z jusqu'à ce que mort s'ensuive?
Ce que j'ai appris de cette fabuleuse histoire,
au-delà même de votre autobiographie, se perçoit pour moi en
parallèle avec les minces connaissances que j'ai de ce que nous vivons en ce
moment.
Dans ce cas, certes, combien de temps me faudra-t-il encore pour
comprendre ce monde plus barbare que jamais avant de retourner à l'état d'embryon
et de m'emmurer dans le silence de la mer Océane de l'enfance.
Enfin, je regrette d'avoir manqué votre
présentation de cette brique
de 1,825 kg., au Goethe-Institut, le centre
culturel allemand, à Montréal! Voir ICI