samedi 28 février 2015

VLB: « 666 - Friedrich Nietzsche »




Voici la plume jetée dans un splendide flou artistique, le 8 octobre dernier,  par un arroseur de «chemtrails» qui volait dans le ciel tôt ce matin là,   non loin devant chez moi.

Cette nuit, à mon insu,  il m'est poussé une bête dans le dos.   Eh bien, oui, l'Arthrite, n'est pas tout à fait comme d'avoir un dos d'âne plus large que d'habitude, mais c'est tout comme.  

Serait-ce à cause du petit soleil frisquet d'automne que nous avons eu dernièrement? Ou bien de ce beau festival de chemtrails, qu'on vaporise abondamment,   de l'ouest de l'île de Montréal jusqu'au nord de l'île de Laval,  et au delà même de la rivière des Mille-Îles?  Livrant  au passage alors de magnifiques spectacles qui quadrillent et voilent le ciel dans tous les sens des quatre points cardinaux, et cela avant même que ne se lèvent les aubes.    

Entre-temps,  désolée de te décevoir, mais ce n'est pas une seule journée de douceur,  comme celle d'aujourd'hui  qui fera un été des Indiens. 

Aujourd'hui,  je viens de tourner la dernière page (1368) du  magistral dithyrambe beublique, « 666 - Friedrich Nietzsche »  écrit par Victor Lévy-Beaulieu.  

Chapeau, monsieur VLB!  

Dans  l'espoir que l'humanité d'aujourd'hui saura s'en servir,  un jour,  pour réécrire  ce terrorisme à inventer ou pas, mais appelé de toutes ses forces par le grand philosophe visionnaire, c'est pour y mettre cette plume à votre chapeau que je vous l'offre avec toute la symbolique occulte qui se cache derrière.   

Ne fait-il pas  partie des plans diaboliques de ce gouvernement mondial, prévu depuis  plus d'un siècle par Nietszsche,  avec son ordre nouveau de contrôler  nos vies de A à Z jusqu'à ce que mort s'ensuive?    

Ce que j'ai appris de cette fabuleuse histoire, au-delà même de votre autobiographie,  se perçoit  pour moi en parallèle avec les minces connaissances que j'ai de ce que nous vivons en ce moment.  

Dans ce cas,  certes,  combien de temps me faudra-t-il encore  pour comprendre  ce monde plus barbare que jamais  avant de retourner à l'état d'embryon et de m'emmurer dans le silence de la mer Océane de l'enfance.  

Enfin, je regrette d'avoir manqué votre présentation de cette brique de 1,825 kg.,  au Goethe-Institut, le centre culturel allemand, à Montréal! Voir ICI