Andrew Stilman, grand reporter au
New York Times, vient de se marier.
Le 9 juillet 2012 au matin, il court le long de l’Hudson River quand il est soudainement agressé. Une douleur fulgurante lui transperce le dos, il s’effondre dans une mare de sang.
Andrew reprend connaissance le 9 mai 2012… Deux mois plus tôt, deux mois avant son mariage.
À compter de cette minute, il a soixante jours pour découvrir son assassin, soixante jours pour déjouer le destin.
De New York à Buenos Aires, il est précipité dans un engrenage vertigineux. Une course contre la montre, entre suspense et passion, jusqu’au dénouement… à couper le souffle.
Je cite: Marc Levy est l’auteur que personne n’aime,
mais qui a vendu dans les 20 millions (ou plus) de bouquins, ce qui n’est pas
négligeable.
On est d’accord, il a eu beaucoup de chance, un petit
coup pouce du destin : il existe certainement des millions d’auteurs plus
talentueux qui mériteraient leur place au sein de l’élite littéraire de notre
pays … moi j’estime qu’un auteur qui arrive à vendre autant de bouquins est aussi
légitime que n’importe qui d’autre… que l’on n’aime pas, je peux comprendre, par
contre je ne comprendrais jamais l’acharnement snobinard dont il est victime
continuellement, il y a aussi des millions de daubes reconnues dans le milieu qui
resteront des daubes aux yeux des autres…
J’ai connu Marx Levy par hasard à la recherche d’un
roman pour mes vacances dans un aéroport.
Depuis ce temps, j’emprunte ses
livres à la bibliothèque de mon cartier et cette année je me suis payé ce cadeau
de Noël.
Personnellement, moi j’aime bien ses romans, ce sont des
petits desserts du dimanche.
‘’Si c’était à refaire’’ ne m’a pas déçu, je l’ai dévoré
en une soirée.
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