jeudi 2 mars 2017

VLB: À douze pieds de Mark Twain



Pourquoi écrire sur Mark Twain?, s'est demandé Victor-Lévy Beaulieu. Eh bien, d'abord parce que son ami Roger Des Roches lui a demandé, mais aussi tout simplement parce qu'il aime Mark Twain.
 
Alors voilà!
 
Et moi? Pourquoi ai-je voulu lire ce dernier bouquin de VLB? Eh bien, parce que j'aime connaître de nouveaux grands auteurs, surtout lorsqu'ils nous sont présentés par VLB.  Tout simplement.

Mark Twain a écrit sur d'innombrables sujets. Celui que je retiendrai ici pour son actualité avec celle d'aujourd'hui, se lit comme suit: 
« Cette terrible force qu'est l'opinion publique d'une nation est créée en Amérique par une horde de nigauds ignorants et imbus d'eux-mêmes qui ont échoué comme terrassiers et cordonniers, et qui se sont lancés dans le journalisme alors qu'ils étaient sur la route de l'hospice. Je connais personnellement des centaines de journalistes; en privé, l'opinion de la majorité d'entre eux ne vaudrait même pas deux dollars, mais quand ils l'expriment par écrit, c'est le journal qui parle (le scribe pygmée est invisible) et, du coup,  leurs déclarations  ébranlent la communauté comme des coups de tonnerre prophétiques. »  p. 312

 À mon avis, on peut dire que les choses n'ont pas vraiment changé depuis l'époque du grand écrivain américain. La folie démentielle qui s'est emparée de l'esprit de nos journalistes actuels, tant nord-américains qu'européens et internationaux, depuis les dernières élections dans ce pays, ont démontré à quel point le métier de ces gens n'avait pas évolué d'un poil, incapables qu'ils sont de se rendre compte du cercle infernal qui les garde,  ou prisonniers ou esclaves.  Et cela depuis deux siècles.

Le hic, c'est que  les propriétaires du « journal qui parle »  au temps de Mark Twain n'étaient pas différents de ceux d'aujourd'hui.  Même voix de son maître que l'on entend toujours aujourd'hui, et qui résonne dans nos oreilles de génération en génération.

Enfin, j'ignore si Mark Twain est le seul à avoir compris l'existence de cette cabale qui dure encore et encore, et qui n'a jamais cessé de contrôler le monde, tout comme elle le faisait autrefois au temps du célèbre écrivain Twain.

samedi 28 février 2015

VLB: « 666 - Friedrich Nietzsche »




Voici la plume jetée dans un splendide flou artistique, le 8 octobre dernier,  par un arroseur de «chemtrails» qui volait dans le ciel tôt ce matin là,   non loin devant chez moi.

Cette nuit, à mon insu,  il m'est poussé une bête dans le dos.   Eh bien, oui, l'Arthrite, n'est pas tout à fait comme d'avoir un dos d'âne plus large que d'habitude, mais c'est tout comme.  

Serait-ce à cause du petit soleil frisquet d'automne que nous avons eu dernièrement? Ou bien de ce beau festival de chemtrails, qu'on vaporise abondamment,   de l'ouest de l'île de Montréal jusqu'au nord de l'île de Laval,  et au delà même de la rivière des Mille-Îles?  Livrant  au passage alors de magnifiques spectacles qui quadrillent et voilent le ciel dans tous les sens des quatre points cardinaux, et cela avant même que ne se lèvent les aubes.    

Entre-temps,  désolée de te décevoir, mais ce n'est pas une seule journée de douceur,  comme celle d'aujourd'hui  qui fera un été des Indiens. 

Aujourd'hui,  je viens de tourner la dernière page (1368) du  magistral dithyrambe beublique, « 666 - Friedrich Nietzsche »  écrit par Victor Lévy-Beaulieu.  

Chapeau, monsieur VLB!  

Dans  l'espoir que l'humanité d'aujourd'hui saura s'en servir,  un jour,  pour réécrire  ce terrorisme à inventer ou pas, mais appelé de toutes ses forces par le grand philosophe visionnaire, c'est pour y mettre cette plume à votre chapeau que je vous l'offre avec toute la symbolique occulte qui se cache derrière.   

Ne fait-il pas  partie des plans diaboliques de ce gouvernement mondial, prévu depuis  plus d'un siècle par Nietszsche,  avec son ordre nouveau de contrôler  nos vies de A à Z jusqu'à ce que mort s'ensuive?    

Ce que j'ai appris de cette fabuleuse histoire, au-delà même de votre autobiographie,  se perçoit  pour moi en parallèle avec les minces connaissances que j'ai de ce que nous vivons en ce moment.  

Dans ce cas,  certes,  combien de temps me faudra-t-il encore  pour comprendre  ce monde plus barbare que jamais  avant de retourner à l'état d'embryon et de m'emmurer dans le silence de la mer Océane de l'enfance.  

Enfin, je regrette d'avoir manqué votre présentation de cette brique de 1,825 kg.,  au Goethe-Institut, le centre culturel allemand, à Montréal! Voir ICI 

 

jeudi 27 mars 2014

Louise Tremblay-D'Essiambre: Mémoires d'un quartier




Je pensais ne plus avoir le temps de lire avec mon nouveau blog de bricolage, mais  non, je prends le temps de lire Louise Tremblay D’Essiambre avec sa série de livres «Mémoire d’un quartier». 
Je ne pensais jamais m’aventurer aussi loin dans la série de ses romans.  Grâce à mon cadeau de Noël, ma liseuse électronique ne chôme pas.   
Si je fais quelques fois de l’insomnie, je peux facilement lire la nuit dans le noir avec sa petite lumière intégrée.    
Au début de la lecture de cette série, je ne savais pas qu’il existait 12 tomes. Je viens de finir le huitième et je suis bien contente qu’il m’en reste encore quatre à lire.  Je salive à lire la suite de la vie de toutes ses familles. 
Les personnages sont attachants et d’une page à l’autre on veut connaître la suite. Cette collection me plonge dans un monde très proche de moi, les histoires se déroulent à Montréal au début de 1953 jusqu’à …….1967 et plus.

Lolo

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Mémoires d'un quartier

Tome 1
Laura

Montréal, 1954. Les rues fourmillent d'enfants qui sautent à la corde, de garçons qui se bousculent, jouant au hockey en se prenant pour Maurice Richard. Sous un arbre du quartier, qui a fait son chemin entre les dalles de béton, Laura Lacaille et son amie Francine Gariépy discutent vivement. Les deux jeunes filles de onze ans ont déjà des idées bien arrêtées sur la vie. Mais aujourd'hui, le sujet de leur conversation animée est cet oncle que Laura n'a jamais connu et qui a débarqué à l'improviste dans la maison de la famille Lacaille.
Adrien Lacaille, le frère de Marcel et l'enfant chéri d'Évangéline, est revenu à la maison familiale après plusieurs années d'absence. Mais cette demeure est maintenant aussi celle de la femme de Marcel, Bernadette, et de leurs deux enfants. La vie de la maisonnée et de ses habitants, menée par la poigne d'acier d'Évangéline, sera complètement bouleversée par l'homme arrivé du bout du monde dans sa décapotable bleu pâle. . .
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Pour le plaisir de son fidèle lectorat, Louise Tremblay-D'Essiambre reprend la plume et se lance dans une nouvelle série, Mémoires d'un quartier. Cette saga sur la famille de Laura et les quartiers ouvriers de Montréal s'échelonnera sur plusieurs tomes. Elle fera également revivre plusieurs personnages des autres séries de l'auteure, comme Les soeurs Deblois, de même que Cécile et Rolande de la série Les Années du silence. Bienvenue dans le monde de Laura.

Son site: http://www.louisetremblaydessiambre.com/livres/Memoires_du_quartier_tome1.html


jeudi 30 janvier 2014

Jocelyne Saucier: Il pleuvait des oiseaux



Jocelyne Saucier













Le roman Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne
Saucier, publié chez XYZ en 2010, continue son formidable parcours avec une surprenante nomination au Prix des libraires français.





Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne Saucier (XYZ).... - image 1.0

Ce prix, beaucoup moins connu que le Goncourt ou le Médicis, est décerné par l'ensemble des libraires français. Il existe depuis 1955 et vise à faire découvrir des auteurs «qui n'ont pas encore gagné de prix littéraires majeurs». Anne Hébert est la seule québécoise à l'avoir remporté, pour Kamouraska, en 1971.
Les deux autres romans en lice cette année sont Kinderzimmer de Valentine Goby et L'invention de nos vies de Karine Tuil. Les trois livres ont été sélectionnés par un jury de libraires, qui ont souligné que Il pleuvait des oiseaux est une «aventure superbe, éloignée de tout discours sentencieux» et qu'il «communique au lecteur sérénité et poésie».
Les 2000 libraires francophones membres de l'association seront appelés à voter pour le gagnant, qui sera connu le 18 mars. Il pleuvait des oiseaux est publié en France chez Denoël, et après le Canada anglais, l'Allemagne et le Suède, le roman de Jocelyne Saucier sera aussi bientôt disponible en Ukraine et en Italie.

Source: La Presse

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Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne Saucier (XYZ). Une des grandes réussites de l’année récompensée par le prix des Cinq continents de la francophonie au mois d’octobre, ce roman touchant sans être pathos parle d’amour, de vieillesse et d’amitié sur fond de grands espaces abitibiens. Parce que tout le monde a droit à une deuxième chance. (J.L.)


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Je n'ai pas particulièrement le goût de lire de romans par les temps qui courent, mais le titre évocateur de poésie de ce roman, Il pleuvait des oiseaux, a soudainement retenu mon attention.  À suivre
L'Oiseau frileux 
May  

dimanche 17 novembre 2013

Histoires de films




Joueuse 




L'origine du film


Secret de tournage sur Joueuse

Joueuse est l'adaptation du roman La joueuse d'Échecs de Bertina Heinrichs. La réalisatrice Caroline Bottaro a découvert ce livre d'une manière très simple : Bertina Heinrichs était sa voisine de palier ! L'écrivain a donc demandé à la cinéaste de lire son roman avant de l'envoyer dans une maison d'édition. Dès les premières pages, Caroline Bottaro fut convaincu que l'histoire ferait un bon film.

Synopsis et détails  

Dans un petit village de Corse, la vie d'Hélène, effacée et discrète, est faite de jours qui s'enchaînent et se ressemblent...
Elle travaille comme femme de chambre dans un hôtel et semble apparemment heureuse avec son mari, Ange, et sa fille de quinze ans, Lisa. Sa vie modeste et monotone paraît toute tracée...

Tout bascule le jour où, faisant le ménage d'une des chambres de l'hôtel, elle surprend, fascinée, un jeune couple d'Américains très séduisants qui joue aux échecs sur une des terrasses. 

Tout d'abord intriguée, puis finalement passionnée par ce jeu, Hélène mettra tout en oeuvre, avec obstination, pour maîtriser les règles des échecs jusqu'à l'excellence. Elle pourra compter sur l'aide de Monsieur Kröger, un mystérieux habitant du village, pour arriver à ses fins. Mais cette métamorphose positive vers une nouvelle liberté pour Hélène, ne se fera pas sans modifier profondément, ses relations avec sa famille, ses amis et les habitants de village.


Le film au complet :http://youtu.be/EIinK_4lSzU

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Terre Promise

Un très bon film environnementaliste. Lolo

Alors comme ça, Gus Van Sant s'intéresse au gaz de schiste ? On le jurerait, mais ce qui séduit le plus dans Promised Land, c'est autre chose : la délicatesse, éternelle marque de fabrique du cinéaste. Et comment il s'approprie, jusque dans les détails les plus infimes, un genre nouveau pour lui, le film dossier. Depuis son étrange remake de Psychose — reproduit plan par plan, et pourtant méconnaissable —, il manifeste cette capacité remarquable à faire sienne une forme déjà toute prête. Elephant, sa Palme d'or, reprenait la structure d'un film anglais d'Alan Clarke. Plus récemment, Harvey Milk était un biopic en bonne et due forme, mais d'abord un film de Gus Van Sant.


Nous voilà dans l'Amérique rurale contemporaine, sans plus d'indication géographique, mais filmée avec une rare tendresse et la patte d'un paysagiste. Deux représentants (Matt Damon, Frances McDormand) d'un grand groupe énergétique au nom évocateur, Global, débarquent dans une petite ville pour convaincre les fermiers, tous endettés, d'autoriser le forage de leurs terres contre beaucoup d'argent. 

Or même dans ce trou perdu, on sait que l'exploitation du gaz de schiste par fracturation hydraulique présente des dangers pour l'environnement, voire pour la population. La résistance locale s'organise. Le séjour des visiteurs se prolonge malgré eux.

Une belle anomalie fait tout de suite la différence avec la routine du cinéma engagé : on est du côté des méchants supposés, les représentants du capitalisme, prêts à tout pour faire signer les contrats de forage. Gus Van Sant crée une intimité avec eux, en les montrant dans leur motel, au drugstore, dans leur voiture, le soir au bar karaoké, plus ou moins alcoolisé. Ils se taquinent mutuellement — le film est souvent drôle. Ils font un travail qui peut sembler odieusement cynique, mais, pour le reste, ils sont aimables et attentifs.

Ce mélange complexe, Matt Damon l'incarne à la perfection. Il est l'auteur du scénario — avec un autre acteur de Promised Land, John Krasinski. Il est aussi une figure de l'oeuvre de Gus Van Sant — quatre films ensemble. Dans le premier, Will Hunting, il représentait l'innocence, l'intelligence désintéressée. Alors qu'il a mûri et changé physiquement, cette image d'idéaliste lui colle encore à la peau. 

Le cinéaste s'en sert pour rendre crédible, puis émouvant, ce personnage d'ambitieux altruiste, qui est persuadé — c’est persuadé ? — de la convergence de son intérêt avec celui des fermiers démarchés. Comme si sa carrière et l'Amérique profonde pouvaient prospérer de concert.

Même si le récit réserve son lot de rebondissements — entre autres, l'arrivée d'un activiste écolo spectaculaire —, Gus Van Sant s'attache avant tout au cheminement moral et existentiel de son héros. Un type devenu mercenaire sans n’avoir jamais eu le temps d'y réfléchir : « It's just a job », comme dit sa collègue. 

Au-delà du problème du gaz de schiste, le film montre comment le système économique dévoie les meilleures volontés, favorise les pires réflexes, et conduit à ne prendre soin de personne ni de rien. Avec un soupçon de volontarisme hollywoodien, Promised Land esquisse une sortie par le haut de cette spirale. Une façon à la fois modeste et très cinématographique d'élever le débat. —

Louis Guichard


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Week-end royal





Juin 1939, le Président Franklin D. Roosevelt attend la visite du roi George VI et de son épouse Elizabeth, invités à passer le week-end dans sa propriété à la campagne.

C’est la première visite d’un monarque britannique aux États-Unis.


La Grande-Bretagne se prépare à entrer en guerre contre l’Allemagne et espère obtenir l’aide américaine.  Les bizarreries et l’étrange mode de vie du président étonnent les souverains.  

En ce week-end royal, pris entre les feux de sa femme, sa mère et sa secrétaire, les affaires internationales ne sont pas vraiment la priorité de Roosevelt davantage intéressé par sa relation avec sa cousine Daisy.


Malgré les sous-titres, ce film charmant m’a vraiment séduite.

Lolo




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Les Saveurs du Palais





Mes impressions: Je suis bien contente de ne pas l’avoir vu au cinéma.
Un film ennuyant, vide et indigeste.  Lolo

Hortense Laborie est une cuisinière réputée qui vit dans le Périgord. A sa grande surprise, le Président de la République la nomme responsable de ses repas personnels au Palais de l'Élysée. Malgré les jalousies des chefs de la cuisine centrale, Hortense s’impose avec son caractère bien trempé. L’authenticité de sa cuisine séduira rapidement le Président, mais dans les coulisses du pouvoir, les obstacles sont nombreux… 


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La drôle de vie de Timothy Green



Un petit film plus que charmant.

Cindy Green et Jim Green, un couple sans enfant, se sentent frustrés par leur incapacité à en concevoir. Une nuit, ils rêvent de leur progéniture idéale et écrivent les caractéristiques de l'enfant et ses événements de la vie sur des morceaux de papier. Le couple met les notes dans une boîte et les enterrent dans leur cour. Après une nuit d'orage à Stanleyville, arrive le matin, un garçon de 10 ans à leur porte. Ils se rendent compte que l'enfant, nommé Timothy, est beaucoup plus spécial que ce qu'ils avaient imaginé


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Argo





Mes impressions
J’ai regardé le film Argo hier soir.
J’étais scotché sur mon divan, un film qui m’a fait frémir jusqu’à la fin.
C’est  une très belle propagande américaine et les Canadiens n’ont pas apporté trop trop d’efforts afin que les otages puissent enfin rentrer au bercail d’après le film.
La question qui tue!!!!! Pourquoi au départ le gouvernement n’a pas retourné au plus sacrant le Shah d'Iran à son peuple qui voulait le manger tout cru. ‘’Argent, toujours argent’’
Ce film qui raconte la fuite de six diplomates américains d'Iran en 1979, suite à la prise d'assaut de leur ambassade à Téhéran, a été vivement critiqué par les autorités iraniennes depuis l'annonce de son tournage. Téhéran avait également annoncé, fin 2012, qu'un film serait bientôt tourné en Iran pour montrer la vraie version de la prise de contrôle de l'ambassade américaine. 
Lolo
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Critique du Canada 
Critique de l'IRAN
Le film « Argo » fait toujours réagir en Iran
La conférence "L'illusionnisme d'Hollywood", tenue lundi 11 mars à Téhéran
Le pouvoir iranien est loin d'en avoir fini avec le film américain Argo. Deux semaines après le succès du long-métrage de Ben Affleck aux Oscars, Téhéran a organisé, lundi 11 mars, une conférence sur "L'illusionnisme d'Hollywood", destinée à "analyser les origines du film Argo" dans cette capitale.
"Ben Affleck a été au service des intérêts américains dès le départ", a déclaré Nader Talebzadeh, critique de cinéma et l'un des intervenants de cette conférence. Selon M. Talebzadeh, les Etats-Unis, "fragilisés, cherchent à éviter des guerres civiles dans ce pays en réalisant certains films".
Un faux Ben Affleck lors de la conférence tenue à Téhéran intitulée "L'illusionnisme d'Hollywood"
Selon les sites officiels iraniens,  l'avocate française Isabelle Coutant-Peyre, associée de Jacques Vergès, était également présente à cette conférence et a prononcé un court discours. "Elle devra représenter l'Iran et porter plainte contre le film Argo auprès des instances internationales", rapportent les mêmes sources.
Par ailleurs, une pétition contre Argo, adressée à Navi Pillay, la haute commissaire des Nations-Unies aux droits de l’Homme, a été exposée et signée par certains des participants.


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Victoria : Les Jeunes Années d'une reine





J’ai tellement aimé ce film que je l’ai vu deux fois plutôt qu’une. Ce qui est rare. Pour une fois qu’on avait, là,  un film historique sans guerre ni violence ...      May

Victoria : Les Jeunes Années d'une reine (The Young Victoria) est un film historique anglo-américain qui est sorti le 22 juillet 2009 en France, avec Emily Blunt, Rupert Friend et Paul Bellany. Ve film retrace la vie de la reine Victoria d’Angleterre, de son accession au trône à son union au Prince Albert de Saxe-Cobourg-Gotha. Il a été co-procduit par Martin Scorseseet la duchesse d’York.

« Espérons que Victoria - Les jeunes années d'une reine soit un premier pas vers une humanisation des personnages historiques, qui tiennent parfois de la légende tellement on embellit leur vie lorsqu'on s'applique à la raconter. Il n'est pas exclu de penser qu'un jour, un(e) insolent(e) aura le courage de montrer que Victoria, Reine d'Angleterre, ou que Marie, mère de Jésus, se masturbaient régulièrement, ou puaient, etc. C'est pourtant l'évidence. Voilà qui serait véritablement fascinant, et qui risque de choquer. En attendant, Jean-Marc Vallée s'applique à réaliser un travail précis, qui se tient entre la reconstitution historique et le film d'amour, et il le fait très bien. »  Extrait d’une critique de Karl Filion

jeudi 31 octobre 2013

Bernard Weber: Le Papillon des étoiles

Depuis quelques semaines j’ai le livre «Inferno» que Mathieu m’a donné.
Il reposait sur ma table de salon et je lisais quelques passages de temps en temps.
Habituellement, quand je commence à lire un livre je ne le lâche pas facilement, mais cette histoire ne m’accroche pas du tout.
 J’ai remarqué en vieillissant mon intolérance aux livres qui n’en finissent pas.
Trop de détails, trop de longueurs afin de remplir les pages d’un gros volume.
Alors !!! j’ai remis le livre sur une autre table en mettant le signet à la page 264 et je me fous de la suite.

J’ai donc pris un autre livre de la bibliothèque de Bernard Werner «Le papillon des étoiles».
Dès la première ligne, j’ai embarqué dans cette histoire, aucune fioriture, aucune ligne superflue, une histoire qui nous embarque dans un monde comme des scènes de cinéma.
J’étais déçue de le laisser afin de me rendre à mon lit.
J’ai lu quelques critiques, elles ne sont pas toutes positives, il paraît qu’il y a plusieurs longueurs à la moitié du livre.
Ce n’est pas son meilleur livre, mais je suis impatiente de le terminer ce soir.

Lolo

mercredi 25 septembre 2013

Normand Lester: À brûle-pourpoing




Normand Lester frappe de nouveau. À brûle-pourpoint réunit ses chroniques incisives publiées sur le site de Yahoo ! Québec.
Les quelque 150 textes sont une réflexion à chaud sur les faits marquants et les personnalités qui façonnent notre temps. Ils contiennent souvent des révélations surprenantes.
- L’auteur nous livre ce qu’il sait du contenu des dossiers secrets de la GRC au sujet des anciens premiers ministres John Diefenbaker, Lester B. Pearson et Pierre Elliot Trudeau.
- Il nous prévient qu’Ottawa surveille les cellulaires et les Blackberry, non seulement des espions, des terroristes et de la mafia, mais aussi ceux d’à peu près tout le monde.
- Il nous révèle tout sur la guerre secrète que mène le Pentagone contre les cochons.
- Il découvre que la démocratie « dirigée » russe de Poutine est plus juste et égalitaire que celle présidée par Obama.
- Il s’étonne qu’un membre de la Sûreté du Québec reçoive son plein salaire, à ne rien faire un an après s’être reconnu coupable de collusion avec la mafia et constate que la SQ semble dissimuler certains aspects de cette affaire.
- Il se demande si des enquêteurs de la police de Montréal n’ont pas incité au suicide un collègue prêt à trahir des secrets du SPVM pour un million de dollars et énumère les points toujours obscurs de cette mystérieuse affaire.
- Enfin, il dresse un portrait des terroristes islamistes et propose une réponse à la question : pourquoi sont-ils facilement disposés à sacrifier leur vie? 

Actualités Médias :
lundi 25 mars 2013

« Normand Lester se questionne, s'étonne et commente avec une verve peu commune » écrit Marie-France Bornais au sujet de l'ancien correspondant de Radio-Canada avec qui elle s'entretenait dans le cahier Livres du Journal de Montréal et de Québec, le dimanche 24 mars. Il est question du dernier opus de l'auteur, À brûle- pourpoing, publié auxIntouchables. 

Éditeur :LES INTOUCHABLES
 livre canadien
Auteur :Lester, Normand
Collection :Essais
Sujet :Essai québécois
Catégorie :Essais
Langue :Français
Type :Souple
Statut :Disponible
ISBN :9782895496038
Code Barre :9782895496038
Code Prologue :A003091
Nombre de pages :341
Date de publication :2013/03/26
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vendredi 9 août 2013

Hervé Gagnon: Le Grand Oeuvre Vengeance 2



Résumé : Montréal, 1886. Pierre Moreau sait maintenant qui il est vraiment : Joseph-Bernard-Mathieu Leclair, dernier descendant de la lignée qui garde la clé menant à l’Argumentum. Cette clé, il l’a récupérée dans le cercueil d’une religieuse, dans la crypte du couvent des Sœurs Grises. Elle prend la forme d’un médaillon portant une scène et des inscriptions. Elle lui a coûté son cousin Adrien, avec lequel il a grandi. Mais il ignore toujours la nature de l’Argumentum – la preuve vers lequel le médaillon doit le conduire et qu’il doit récupérer pour sauver Julie. Tout au plus sait-il qu’il s’agit d’un objet conservé jadis par les chevaliers du Temple, et pour lequel le pape Clément V a détruit l’Ordre en 1307.

Avec l’aide de Maurice Demers, Solomon Wolofsky, Barthélémy Perreault et Honoré Beaugrand, tous membres de l’Opus Magnum et descendants de Templiers ayant échappé à la purge, il se lance dans une quête haletante dans les rues de Montréal. Quelque part, dans un lieu oublié depuis longtemps, se trouve au Canada un objet que l’on a caché en prenant pour prétexte la fondation d’une colonie appelée Ville-Marie. Un objet millénaire dont il ignore la nature, mais qui pourrait causer l’effondrement de la chrétienté. Pour le retrouver, il doit décoder le contenu du médaillon pendant que les cadavres s’accumulent autour de lui et qu’un mystérieux adversaire semble tirer les ficelles derrière le décor.

Ce qu’il découvrira sera plus grave que tout ce qu’il avait imaginé. En exhumant l’Argumentum sous la basilique Notre-Dame, il découvrira un mensonge vieux de deux mille ans. 

Notes particulières : Les lecteurs d’Hervé Gagnon et les amateurs de thrillers policiers. 



Détails

Vengeance 2. Le Grand Œuvre

Auteur : Hervé Gagnon 

ISBN : 978-2-89723-121-7 | Nombre de pages : 450 
ISBN numérique : PDF 9782897231224 | ePub 9782897231231 
Prix suggéré : 27,95 $ 

Format : 15 x 22,5 cm | Parution le : 2013-06-06

Éditeur : Éditions Hurtubise inc. 
Diffuseur : Au Canada - Distribution HMH inc.

Mes impressions: 


Une histoire magistrale qui m'a laissée avec un goût de poussière dans la bouche ... Mais un suspens auquel on ne peut faire autrement de s'y accrocher. Et même si on a la tuque tout de travers.  


À lire prochainement: Les Damnés.  

vendredi 21 juin 2013

Frédéric Bastien: La bataille de Londres



Au lendemain du référendum de 1980, Pierre Elliott Trudeau reprend son vieux rêve de rapatrier la Constitution. Il demandera donc au parlement britannique d’adopter une loi qui fera enfin du Canada un pays pleinement indépendant.


Les provinces, le Québec au premier chef, qui voient leurs prérogatives menacées et veulent stopper l’initiative du fédéral, multiplient ambassades et délégations à Londres, tentant de séduire les députés et lords anglais à coups de grands vins et de plats fins. Affluent également dans la capitale anglaise les Indiens, qui se sentent trahis par la couronne britannique, et les stratèges fédéraux, bien déterminés à voir triompher leur cause. S’en mêlent le Labour anglais, qui rêve de faire tomber Thatcher, les députés conservateurs d’arrière-ban qui défient la Dame de fer, au plus bas de sa popularité juste avant la guerre des Malouines, et tout ce qui grouille, scribouille, grenouille au Canada et en Angleterre, pendant que les tribunaux, des deux côtés de l’Atlantique, s’apprêtent à entendre différentes causes touchant ce coup de force constitutionnel.


C’est avec une verve irrésistible que l’auteur décrit cette foire d’empoigne, au-dessus de laquelle vogue le couple improbable que forment Pierre Trudeau et Margaret Thatcher, opposés sur le plan politique et pourtant liés par une complicité aussi inattendue qu’indéfectible.


Frédéric Bastien est le premier historien qui se penche sur ces événements en s’appuyant sur une étude systématique des archives, notamment les documents secrets du Foreign Office. C’est grâce à ces derniers que nous apprenons que Trudeau, dans son entêtement, est allé jusqu’à enfreindre une règle fondamentale des gouvernements démocratiques, soit celle de la séparation des pouvoirs, compromettant d’emblée la légitimité du nouveau régime constitutionnel.

Détails

Titre exact : Bataille de londres,la
Catégorie : Histoire du Québec
Date de parution : 8 avril 2013
Éditeur : Boréal
ISBN : 9782764622278

Mes impressions: 
Un livre qui ne nous réconcilie pas avec Pierre-Elliott Trudeau, mais surtout une lecture qui nous fait plonger au coeur de cette saga qui nous a éloignés de nous-mêmes. 

Retrouverons-nous ce nous-mêmes de notre vivant? 

mardi 11 juin 2013

Les anonymes - de Ellory





Part sombre de la CIA. Guerres internes plus ou moins secrètes, financements occultes, corruption, attentats ratés - disons plutôt mise en scène - (comme celui de Reagan, par exemple) ou réussis (celui de Kennedy), tout y passe, dans un long monologue aux allures de confession. Un thriller historique plein de souffle sur fond de secrets plus ou moins bien gardés du gouvernement américain. 

Excellent polar. Aussi fascinant que dérangeant. Les grands de ce monde sont tellement "crasses" n'en douter point. Ils projettent les petits prolétaires que nous sommes dans un "encrassement" invraisemblable.

R.J. Ellory est aussi l'auteur de "Vendetta", très bon film.


Merci J. d'A. 

jeudi 2 mai 2013

Jean-Jacques Pelletier: L'Argent du monde 1-


Description



Pour l'inspecteur Théberge, tout débute avec la découverte, dans la voiture d'un gestionnaire, du corps totalement exsangue d'une danseuse de club. Or, quelque temps plus tard, le milieu financier de Montréal est secoué par les décès - mort suspecte, suicide, assassinat - de plusieurs gestionnaires et par la « disparition » de 750 millions de dollars des coffres de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Y aurait-il un lien entre tous ces événements ? se demande l'inspecteur. Et qui donc aurait intérêt à faire croire qu'un vampire hante les rues de Montréal ? 

Pour F, la directrice de l'Institut, tout indique que le Consortium cherche à implanter au Québec une colossale machine à blanchir de l'argent. Patiemment, avec l'aide de Blunt, de Hurt, des Jones et de Chamane - un jeune hacker -, elle poursuit le travail d'analyse et d'enquête. Pour réussir à contrer encore une fois le Consortium, dont les moyens et les ramifications semblent sans limites, l'Institut devra s'engager dans une nouvelle et très inégale lutte... 

L'Argent du monde : un voyage hallucinant dans l'univers des fraudes financières et de la manipulation des individus.

Détails
Éditeur
Alire
ISBN
2922145468
Parution
2001
No. de produit
75748

Mes impressions: 
Un bouquin que j'ai emprunté à ma bibliothèque et que j'ai adoré. 

J'ai hâte de lire la suite, quelque part, cet automne lorsque je reprendrai mes marches vers 
Ville Lorraine. 

lundi 8 avril 2013

Cinquante nuances de Grey

(Justine ou les malheurs de la vertu)

Cinquante nuances de Grey
N’en parlez à personne...



L’histoire d’amour rocambolesque, sadique et impudique est beaucoup plus soft que Justine. Je suis un peu gênée, car j’ai adoré et j’ai hâte d’entamer le deuxième tome en vacances au soleil au Mexique.


Les critiques du livre sont extrêmement mauvaises, mais avec 50 millions de femmes qui ont lu ce livre, ce n’est pas rien, ils vont d’ailleurs en faire un film.  Le nouveau Harry Potter des fantasmes féminins.

Lolo
Se déroulant essentiellement à Seattle, ce récit est le premier d'une trilogie qui retrace la relation entre une jeune diplômée en littérature, Anastasia Steele, et un homme d'affaires, Christian Grey.

Le titre anglais original est à double sens, « Grey » faisant à la fois référence à l'un des deux héros et à la couleur grise.

Cette romance contient des scènes explicitement érotiques mettant en vedette des éléments de pratiques sexuelles impliquant la servitude, la discipline, le sadisme et le masochisme.  

Synopsis

Anastasia Steele accepte de remplacer sa colocataire malade, Katherine, pour interviewer l'homme d'affaires et milliardaire Christian Grey. Jeune PDG séduisant et mystérieux, ce dernier l'intimide. Bien qu'elle le trouve attirant, Ana décide de ne pas aller plus loin.

Mais à sa grande surprise, Christian Grey vient la relancer à son travail. À mesure que leur relation progresse, la jeune et innocente Ana est confrontée à un tout nouvel univers aux côtés du riche entrepreneur. Christian a cependant une face sombre: bientôt Anastasia découvre qu'il est adepte du BDSM. La jeune femme doit alors décider si elle est prête ou non à faire des concessions à l'homme qu'elle aime.